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Articles

Affichage des articles du janvier, 2011

Reconnaissance de la catastrophe naturelle

Communiqué de la Préfecture : l’arrêté interministériel du 13 décembre 2010 a défini la reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle pour la sécheresse survenue sur le territoire des communes de - BULLY du 18 mars 2008 au 30 septembre 2008 et du 1er juillet 2009 au 30 septembre 2009 - ECULLY du 15 juillet 2009 au 30 août 2009 - GLEYZÉ du 1er juillet 2009 au 29 septembre 2009 - LEGNY du 1er juillet 2009 au 30 septembre 2009 - MEYS du 10 septembre 2009 au 30 septembre 2009 - HAUTE-RIVOIRE du 10 septembre 2009 au 30 septembre 2009 mais il n'a pas reconnu  l’état de catastrophe naturelle pour la sécheresse survenue sur le territoire des communes de - BULLY du 1er octobre 2008 au 31 décembre 2008 et du 1er janvier 2009 au 30 juin 2009 - BRINDAS du 1er janvier 2009 au 30 septembre 2009 - GLEYZÉ du 1er juin 2009 au 30 juin 2009 - LEGNY du 1er juin 2009 au 30 juin 2009 - MEYS du 1er octobre 2009 au 27 novembre 2

Une nouvelle voie d'accès à la Confluence

Le nouveau siège de la Région Rhône-Alpes Avec quelques semaines d’avance, la rue Montrochet, prolongée entre le Cours Charlemagne et le quai Perrache, vient d’être ouverte à la circulation.  Cette nouvelle voie Est/Ouest, au cœur de l’emprise de l’ancien marché gare, permet désormais aux automobilistes et cyclistes venant du centre de Lyon, de Gerland ou du sud de l’agglomération, d’accéder directement au quartier des « docks » du Port Rambaud, sans emprunter le cours Charlemagne. Elle facilitera également l’accès au siège de la région Rhône-Alpes. A terme, elle permettra également de desservir au plus près le Pôle de loisirs et de commerces et tout le Port Rambaud. Si le tracé de cette nouvelle voirie, d’une longueur de 300 m environ, est à son emplacement définitif, les aménagements en sont provisoires, en raison des travaux actuels et futurs de part et d’autre. A double sens, limitée à 30 km/heure, elle est équipée de feux tricolores, côté quai Perrache et côté cours C

Le monoxyde de carbone, première cause de mort toxique accidentelle

En France, chaque année, environ 5 000 personnes sont victimes d’une intoxication au monoxyde de carbone. Parmi elles, 1 000 doivent être hospitalisées, ces accidents pouvant laisser des séquelles à vie, et environ 50 décèdent. Depuis le début du mois de décembre, 248 intoxications et 8 décès ont déjà été recensés.    Le monoxyde de carbone (CO) est un gaz asphyxiant, d’autant plus dangereux qu’il est incolore, inodore, insipide et non irritant. Il provoque maux de tête, nausées et vertiges et peut être mortel en quelques minutes dans les cas les plus graves.  Il provient essentiellement du mauvais fonctionnement d’un appareil ou d’un moteur à combustion, c'est-à dire fonctionnant au bois, au charbon, au gaz, à l’essence, au fuel ou à l’éthanol.  Une concentration élevée de monoxyde de carbone dans le logement peut être due à plusieurs facteurs : une aération insuffisante du logement, un défaut d’entretien des appareils de chauffage, de cuisson et de production d’eau chaude ains