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Après un printemps météorologique (mars, avril, mai) exceptionnellement sec sur la France, la situation météo a radicalement changé depuis le début du mois de juin. Les conditions anticycloniques ont laissé place à un temps plus perturbé avec des précipitations qui ont pu circuler sur la plus grande partie du pays. On observe donc une nette amélioration sur le plan de la sécheresse agricole (partie superficielle des sols); ces précipitations profitent moins aux nappes phréatiques qui restent déficitaires sur la plupart des régions. Des pluies bénéfiques pour la végétation et les cultures Les cumuls de pluie observés depuis le début du mois de juin sont souvent proches des moyennes voire même excédentaires sur certaines régions. A Paris, avec 59 millimètres recueillis depuis le 1er juin, on observe un excédent de 61%. Même excédent pluviométrique observé sur des villes comme Grenoble, Agen ou Brest, des régions qui étaient fortement touchés par la sécheresse. A noter aussi des précipit

Prévisions de précipitations - Depuis le début du mois de juin, le temps est devenu plus instable sur la France. De fortes pluies orageuses ont concerné les régions du Centre-Est tandis qu'une perturbation a apporté des pluies durables ce dimanche 12 juin au nord-ouest.   Ailleurs, les orages et les précipitations ont circulé de manière très hétérogène. Certaines régions jusqu'alors très touchées par la sécheresse avaient déjà pu profiter d'importantes précipitations orageuses, notamment le Bassin parisien et les Pays-de-la-Loire. D'autres régions ont été moins bien arrosées, notamment le Bordelais. Une sécheresse en léger recul D'une manière générale, le déficit pluviométrique observé depuis le début du printemps est en léger repli suite aux précipitations de ces derniers jours. A Paris, par exemple, suite aux précipitations orageuses de ce début juin, le déficit pluviométrique depuis le 1er mars est passé de 84% au 30 mai à 62% au 13 juin. Il a reculé aussi s

A la veille du week-end de Pentecôte qui connaît traditionnellement un flux important de circulation sur le département du Rhône, Jean-Pierre Cazenave-Lacrouts, préfet délégué pour la défense et la sécurité rappelle les nécessités de prudence et de vigilance en matière de sécurité routière ainsi que le strict respect des règles du code de la route. Au cours des 5 premiers mois de l’année 2011, 1584 personnes (chiffre provisoire) ont été tuées sur les routes de France, soit une hausse de 8,6 % par rapport à l'année 2010. Pour le département du Rhône, on recense 34 tués (chiffre provisoire) pour cette même période, soit une hausse de 13,3 % par rapport à 2010. Lutter contre l’insécurité routière est l’affaire de tous. C’est pourquoi, ces prochains jours, les forces de police et de gendarmerie assureront une présence visible au bord des routes tout en mettant en place des opérations de contrôle massives avec l’ensemble des moyens techniques dont elles disposent. Une conduite serein

Le Préfet du Rhône a réuni le lundi 30 mai le comité départemental « Canicule » pour présenter les dispositions du plan de gestion d’une canicule dans le département du Rhône durant l’été 2011. Ce plan s'inscrit dans un dispositif national et présente trois niveaux : Un niveau de veille saisonnière activé traditionnellement entre le 1er juin et le 31 août de chaque année, un niveau de mise en garde et actions (MIGA) déclenché par le préfet de département sur la base de l’évaluation concertée des risques météorologiques réalisée par Météo-France et des risques sanitaires réalisée par l’Institut de veille sanitaire (InVS) et enfin un niveau de mobilisation maximale, déclenché au niveau national par le Premier ministre en cas de vague de chaleur intense et étendue associée à des phénomènes dépassant le champ sanitaire. Le plan départemental est élaboré et actualisé chaque année.  Pour protéger la population contre les risques liés à la canicule, le plan départemental s’appuie sur l